Quelques jours seulement après le départ du dictateur Ben Ali de la Tunisie, fuyant la colère, la fureur et la rage du peuple, on avait commencé à se laisser prendre par les rêves d’un état juste et respectueux des droits humains où l’on peut toutes et tous vivre décemment et dignement. Les réformes à entreprendre étaient certes multiples, complexes et toutes urgentes à réaliser. Cependant, on était plutôt convaincu que la réforme des appareils sécuritaire et judiciaire figurait en tête de liste. En effet, ces deux appareils représentaient les deux piliers porteurs de la répression.
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